La méthode de concertation se poursuit avec les réunions « partenaires institutionnels », dont les partenaires sociaux et les groupes thématiques (jeunesse, logement handicap) avec une synthèse mensuelle dans le cadre du Comité national.
Cette deuxième phase était consacrée à la notion de revenu décent, à la question de l’individualisation ou/et la familiarisation des prestations, aux droits et devoirs des allocataires et à l’automaticité ou non des droits. Si, sur un grand nombre de points, les principes et les objectifs sont partagés, néanmoins certains sont en débats ou méritent d’être approfondis.
Le périmètre de la réforme et la conception du Revenu universel d’activité, comme politique d’autonomie ou comme politique de lutte contre la pauvreté, doivent être précisés.
L’UNSA a fait valoir que la nécessité d’une réflexion pour définir quelle solidarité est à mettre en place pour la société française envers ceux qui ont peu de revenus.